GDL • Re: Etirer en hauteur objet GDL
C'est pas encore l'idéal mais ça devient quasiment exploitable.
Statistiques: Publié par LouSe — 22 janv. 2025 09:39
Statistiques: Publié par LouSe — 22 janv. 2025 09:39
Statistiques: Publié par LouSe — 22 janv. 2025 09:30
Statistiques: Publié par Archi 43 — 22 janv. 2025 09:05
Non parce que l'onglet plan/coupe propose un type de ligne pour la vue de dessus et un autre pour la vue de dessous. Ce que ne fait pas l'objet.Donc sur l'étage de ta toiture ta fenêtre est aussi en pointilléBon alors j'ai finalement trouvé une solution : il suffit de forcer le remplacement des styles de ligne d'objet via l'onglet Plan/coupe.
Statistiques: Publié par Archi 43 — 22 janv. 2025 09:00
Statistiques: Publié par KaRé — 22 janv. 2025 08:56
Vous vous souvenez de l’époque où on passait des heures à trouver le cadrage parfait avec nos vieux appareils photos argentiques ? Et bien Picture Perfect capture magistralement cette sensation avec un concept de jeu, très original.
Développé pendant la game jam “Built to Scale” en seulement 96 heures, vous y incarnez un photographe armé de son fidèle appareil et votre mission c’est de capturer des moments parfaits en jouant avec la perspective et le positionnement de votre personnage.
L’équipe de France continue son sans-faute dans ce Mondial. Après une victoire écrasante contre la Hongrie lors du tour principal, les Bleus se rapprochent des quarts de finale, portés par un collectif soudé et une défense de fer.
« On est des chiens, on a la dalle, » lâche Thibaud Briet, résumant en une phrase l’intensité qui anime les Bleus. « On court, on se bat sur chaque ballon. Même quand on mène de dix buts, on continue d’appuyer pour enterrer l’adversaire. » Face à la Hongrie, cette mentalité s’est illustrée dès les premières minutes : une défense agressive, des interceptions décisives et une attaque efficace. « Le début de match a été déterminant. On a marqué dans beaucoup de secteurs, avec un ballon qui vivait bien, » analyse Guillaume Gille, satisfait de la prestation de son équipe.
La Hongrie a tenté de s’appuyer sur un jeu à 7 contre 6 pour déstabiliser la défense française. Mais les Bleus, bien préparés, ont su répondre à cette stratégie. « C’est une configuration qu’on travaille beaucoup à l’entraînement. Ce soir, on a bien répondu en fermant les espaces et en récupérant des ballons, » explique Rémi Desbonnet, le gardien tricolore, auteur d’un gros match. Malgré une gêne à la cheville, il a su tenir son rang grâce au soutien du staff médical : « Ils sont à fond derrière nous, je tiens à les remercier. Jouer sans douleur en handball, ça n’existe pas, mais je suis prêt à tout pour l’équipe. »
« On est là pour être champions du monde. Gagner chaque rencontre, c’est tout ce qui compte », Rémi Desbonnet
Malgré une deuxième mi-temps moins étincelante, les Français ont su conserver leur avance. « Oui, on a eu des temps faibles après la pause, mais cela s’explique par un adversaire vexé qui a mis plus d’énergie, » nuance Guillaume Gille. Thibaud Briet, de son côté, se réjouit de cette gestion maîtrisée : « On a livré une grosse prestation collective. Que ce soit en attaque ou en défense, on a montré qu’on était là. »
Alors que la qualification en quart de finale se dessine, l’équipe de France refuse de se relâcher. « Peu importe l’adversaire, on joue chaque match à fond. Il n’y a pas de place pour le relâchement, » insiste Briet. Rémi Desbonnet conclut : « On est là pour être champions du monde. Gagner chaque rencontre, c’est tout ce qui compte. »
Les supporters français, présent sur place, ont été salués par les joueurs : « C’est cool d’avoir du soutien. On espère qu’ils seront encore plus nombreux pour la suite, » confie Desbonnet.
Prochain rendez-vous : les Pays-Bas et leur maître à jouer bien connu des Français, Luc Steins.
À Varaždin, A.F
À Varaždin, les Pays-Bas ont battu le Qatar 38-37 grâce à un but au buzzer de Niels Versteijnen. À Herning, l’Italie a dominé la République Tchèque 25-18 avec un Domenico Ebner en état de grâce.
Dans un match haletant à Varaždin, les Pays-Bas ont arraché une victoire 38-37 contre le Qatar grâce à un but de Niels Versteijnen dans les dernières secondes.
Le Qatar, porté par Frankis Marzo (11 buts), a dominé la première mi-temps et mené 19-17 à la pause. Mais en seconde période, les Néerlandais, emmenés par Luc Steins, MVP et Dani Baijens (9 buts), ont renversé la situation grâce à un rythme qui les caractérise.
Malgré une égalisation qatarie à 37-37 à 18 secondes de la fin, Niels Versteijnen a scellé la victoire néerlandaise d’un tir spectaculaire. Les Pays-Bas, désormais à quatre points, affronteront la France jeudi, pendant que le Qatar essaiera de faire mieux face à la Macédoine du Nord.
Talk about timing — Niels Versteijnen cold-bloodedly delivers the ultimate buzzer-beater as the Netherlands snatch a crucial victory in their main-round opener! @Handbalheren @Handbal_NL #inspiredbyhandball #CRODENNOR2025 pic.twitter.com/Aef0xIZdMD
— International Handball Federation (@ihfhandball) January 21, 2025
L’Italie ne finit pas de surprendre ! Elle s’est lancée dans le tour principal en battant la République Tchèque 25-18. Portés par un Domenico Ebner impérial (14 arrêts, 44 % d’efficacité), les Italiens ont creusé l’écart dès la première période grâce à leur défense agressive et à un 5-0 infligés rapidement aux Tchèques (4-11) .
Malgré un réveil tardif, les Tchèques, en difficulté offensive, n’ont jamais réussi à renverser le match. Avec cette victoire, l’Italie reste en course pour les quarts et affrontera l’Allemagne jeudi. La République Tchèque, elle, défiera la Tunisie.
Groupe II, Varaždin (Croatie) :
Groupe I, Herning (Danemark)
À Varaždin, A.F
Dans un grand soir, l’équipe de France a largement battu la Hongrie. Les Bleus ont capitalisé sur une grosse performance défensive et un début de match canon (30-37).
Coup d’envoi pour la France du tour principal, première échéance : la Hongrie. Les hommes de Chema Rodriguez vont évoluer ici, à Varaždin, presque à domicile. Et comme depuis le début du Mondial, l’équipe type reste inchangée : seuls Mathieu Grébille et Dylan Nahi alternent sur l’aile gauche. On retrouve : Rémi Desbonnet, Mathieu Grébille, Thibaud Briet, Ludovic Fabregas, Karl Konan/Dika Mem, Nedim Remili et Benoît Kounkoud.
Alors que l’équipe de France s’était préparée à jouer dans une salle enflammée, il n’en est finalement rien. Dès le début, Thibaud Briet et Dika Mem se lancent parfaitement dans la rencontre (1-2, 2’). Ludovic Fabregas, toujours combatif, se jette sur une balle qu’il offre et à Nedim Remili. Il a tout le loisir de marquer dans le but hongrois laissé vide. Chema Rodriguez utilise très tôt le jeu à 7 contre 6, une stratégie bien contrée par les Français pour le moment (2-5, 6’). Le score de 8-3 en moins de 10 minutes pousse Chema Rodriguez à prendre son premier temps mort (8-3, 8’).
Nedim Remili est partout : à la finition, à la récupération et surtout à la passe (5-11, 12’). Seul point noir des 20 premières minutes : l’inefficacité sur l’aile gauche avec un 0/3 (11-16, 20’). En défense, Karl Konan réalise – encore – une performance exceptionnelle en première mi-temps. Les Bleus rentrent aux vestiaires après avoir fait une grosse partie du job en étouffant leurs adversaires (15-23, 30’).
La deuxième mi-temps débute largement en faveur de la France. Thibaud Briet, coup sur coup, provoque deux exclusions temporaires de deux minutes. La France, avec le pivot placé à l’extérieur, entre le 1 et le 2 à gauche, fait très mal aux Hongrois (17-27, 45’). La barre des 10 buts est déjà franchie ! Le jeu à 7 contre 6, dans ce match, se retourne complètement contre la Hongrie, et Aymeric Minne et les siens enchaînent les buts dans des cages vides (20-30, 40’).
Un autre homme est dans un bon soir : Rémi Desbonnet. Alors que la France traverse son premier temps faible de la rencontre, Guillaume Gille en profite pour poser un temps mort et effectuer ses rotations (25-31, 45’). Si les Bleus sont toujours largement devant, ils joue sur un faux rythme qui favorise les Hongrois (25-33, 50’).
Grâce à ce quatrième succès dans le Mondial, les Bleus restent invaincus et se mettent à l’abri d’une mauvaise surprise pour la suite (30-37, score final).
Entraineur : Guillaume Gille
Gardiens : Bolzinger, Desbonnet (dont 1/3 pén)
Minne (4/5), Rémili (5/8 dont 1/1 pén), Bos (1/1), Prandi (2/5), M. Richardson (5/6 dont 1/1 pén), Mem (6/9), Tournat (3/4), Grébille (2/4), L. Karabatic (1/1), Fabregas (1/2), Kounkoud (3/4), Nahi (0/2), Konan, Briet (3/7), Desbonnet (1/1)
Exclusions temporaires : Prandi (51’)
Entraineur : Chema Rodriguez
Gardiens : Mikler (3 arrêts / 14 tirs dont 0/1 pén), Palasics (10 arrêts / 31 tirs dont 0/1 pén)
Sipos (1/1), Boka (2/2), Ligetvari, B. Krakocszki (1/1), Fazekas (0/1), Rodriguez Alvarez (1/1), Banhidi (4/4), Szita (2/8), Bodo (2/8), Ilic (4/5), Rosta (3/6), Lekai (5/9 dont 1/1 pén), Onodi-Janoskuti (4/5), Imre (1/2 dont 1/2 pén)
Exclusions temporaires : Lekai (21’), Fazekas (31’), Ilic (31’), Rodriguez Alvarez (41’), Imre (53’)
À Varaždin, A.F
Pour ce premier match du tour principal contre les premiers du groupe D, la France affronte la Hongrie. Et comme à Poreč, depuis le retour d’Elohim Prandi, Romain Lagarde sera en tribune.
Arrivé dimanche à Varazdin en remplacement de Samir Bellahcene, blessé, Valentin Kieffer ne connaîtra pas sa première sélection ce soir. Guillaume Gille a choisi de le laisser en dehors de la feuille de match, privilégiant le duo 100 % montpelliérain, Rémi Desbonnet et Charles Bolzinger.
À Varaždin, A.F